Observator cultural 140 (397)/ 8-14 novembre 2007

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Editorial Carmen Musat est indignée de la conduite des officialités roumaines par rapport aux infractions commises par les tziganes roumains à Rome, et qui ont culminé par la mort violente de Giovanna Reggiani. On doit nous assumer, dit l’éditorialiste, non seulement les réussites de nos co-nationaux, mais aussi leurs actes honteux. Mais, au-delà de l’image négative créée par ces infracteurs (et même criminels), Carmen Musat est frappée par la conduite sans professionnalisme des ministres et du président de la Roumanie. Politique Méme sujet, très brûlant ces jours-ci, dans les chroniques de Mihnea Blidariu (dans sa petite rubrique Tinar caut politica/ Jeune homme je cherche la politique), Bedros Horasangian et Ciprian Ciucu : les incidents et le crime des citoyens roumains à Rome et la réaction des officialités et des médias. Bedros Horasangian : « L’Italie et les Italiens avaient besoin de compassion et d’excuses de notre part, les Roumains. Le crime de ce malheureux nous concerne nous tous, nous touche et nous humilie nous tous. (…) Je ne l’ai pas senti de la part des autorités roumaines ou de la part de l’opinion, vexée par la réaction des autorités italiennes et par l’image nationale négative – cette obsession nationale. C. […]
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