Observator cultural no. 138 (395)/ 25-31octobre 2007

Editorial Carmen Musat critique la situation politique générale de la Roumanie, une situation qui n’est pas nouvelle et qui justifie encore une fois l’oeuvre satirique du dramaturge Caragiale, cité par l’éditorialiste et cité très souvent quand il s’agit de la vie politique. Le manque de principes, les paroles affichées au détriment de l’action, tout cela est réédité à l’occasion des élections pour les europarlementaires : « L’impression générale est celle que les gens ne sont pas jugés selon leurs actions (ignorées le plus souvent), mais selon les paroles – les leurs, mais souvent celles des autres – et que l’appartenance à une catégorie et surtout la position sur la scène politique sont plus importantes que la qualité d’une personne ». Politique Bedros Horasangian et Ciprian Ciucu attaquent d’une façon critique le même sujet des europarlementaires. Bedros Horasangian fait allusion, ironiquement, à la tendance autoritaire du président de gouverner seul et de ne pas accorder de l’importance aux élections pour le Parlement européen. Ciprian Ciucu, à son tour, souligne le fait que les parlementaires roumains, au lieu de parler de thèmes européens, ils continuent de se disputer autour des questions internes pendant la campagne… Ioana Paverman parle des avantages et des […]