Observator cultural no. 143 (401)

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Editorial Carmen Musat reprend un éditorial plus ancien, avec le constatation que, en Roumanie, la scène politique fonctionne selon le principe de Giambattista Vico, du XVIII e siècle : corsi e ricorsi. Il s’agit, en fait, de la critique de l’attitude de Theodor Stolojan, le leader du nouveau parti libéral, qui a rompu avec l’ancien – le Parti Libéral Démocrate, une critique faite il y a un an et qui est encore valable, ce qui fait le regret de l’éditorialiste : « Stolojan n’est qu’un Jolly Joker qui peut « jouer » dans toute position, fonction des intérêts de ceux qui décident le jeu ». Politique Bedros Horasangian sur le Jour National de la Roumanie : « Le 1 Décembre, le Jour National de la Roumanie, devait être considérée par les Roumains dans toute son importance et toute sa signification ». Ciprian Ciucu commente, lui aussi (v. l’éditorial), la décision du Parti Libéral Démocrate de s’allier avec le Parti Démocrate. Le commentateur développe les motifs implicites pour lesquels les deux partis se sont alliés. Evénement Maria-Magdalena Crisan écrit sur l’exposition de photographie de Peter Jacobi, ouverte au Musée National d’Histoire de la Roumanie : Peregrin prin Transilvania. Entre 2004-2005, Peter […]
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